En réponse à la tribune parue le 5 novembre 2024 dans le journal Libération, appelant à un moratoire sur l’implantation des centrales photovoltaïques au sol...
La délégation à la transition écologique de la direction générale des entreprises (DGE) a initié un travail exploratoire qui se fixe pour objectif de définir l’évolution des entreprises...
L’article publié le 19 octobre dans Nature Communications souligne le rôle majeur de la sobriété, en complément de l’efficacité et des renouvelables, pour permettre l’atteinte d’objectifs énergie-climat ambitieux.
Autorisé en 2007, le réacteur a connu des dépassements de coût et de délai considérables, et sa mise en service effective n’est pas encore réalisée : plusieurs mois vont encore être nécessaires avant le raccordement au réseau.
L’Etat a récemment engagé une dynamique de fond sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), en lançant plusieurs chantiers dont les finalités se rejoignent : favoriser l’usage de l’électricité dans le bâtiment et réduire le nombre de passoires thermiques. Si la volonté de décarboner le parc bâti est louable, l’Association négaWatt alerte sur les impensés de cette stratégie.
Le 6 février 2024, au milieu de l’agitation politique avec les agriculteurs dans les rues européennes et les craintes d’une poussée de l’extrême droite dans les élections du Parlement européen de juin, la Commission européenne (CE) a présenté sa communication sur un objectif climatique pour 2040, basé sur une modélisation complète de scénarios détaillés dans une étude d’impact. L’analyse de ces documents montre un écart considérable entre les conclusions de l’étude d’impact et certains choix et recommandations présentés dans la communication. Sur la base d’une analyse des scénarios et d’une comparaison avec le scénario CLEVER (a Collaborative Low Energy Vision for the European Vision) publié en 2023, la présente note examine comment ces choix pourraient entraîner des coûts plus élevés, des risques accrus et une perte de souveraineté pour l’Europe et ses citoyens.
Fin 2023, le Gouvernement a soumis à consultation publique une partie des grandes orientations de la politique énergétique française contenues dans la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE). Dans sa réponse à la consultation, l’Association négaWatt souligne plusieurs lacunes et problèmes majeurs : Le projet de PPE manque de détails, ne s’inscrit pas dans une vision à long terme, et sa publication n’est pas concomitante avec le projet de Stratégie nationale bas-carbone. Il se concentre exclusivement sur la production d’énergie, ignorant la consommation, levier pourtant indispensable à l’atteinte de nos objectifs énergétiques. Enfin, l’électrification massive, incontrôlée et peu crédible, ainsi que la dépendance accrue au nucléaire, sont des choix dangereux et irréalistes.
L’hydrogène est un vecteur énergétique pertinent dans une logique de décarbonation et de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre. En 2022-2023, l’Association négaWatt et Solagro ont étudié plus spécifiquement le rôle que pourrait jouer l’hydrogène dans l’industrie d’ici 2050 et les mesures politiques qu’il conviendrait de prendre pour enclencher une transition du secteur. 📚 Retrouvez au bas de cette page le rapport complet et la synthèse de cette étude en téléchargement. 🔴 A (…)
Suite au lancement par le Gouvernement d’une concertation sur la décarbonation du secteur du bâtiment qui évoque, parmi un ensemble de sujets, la possibilité d’interdire l’installation de chaudières au gaz, l’Association négaWatt apporte son analyse.
Le secteur des transports représente aujourd’hui plus de 30% des émissions de gaz à effet de serre en France. La décarbonation complète de ce secteur, étape indispensable pour atteindre la neutralité carbone, passe par l’activation d’une multitude de leviers. Si l’amélioration de l’efficacité des moteurs et l’électrification des véhicules permettent de parcourir une part significative du chemin, la sobriété a de son côté un rôle indispensable à jouer pour permettre cette décarbonation (…)
