Dans le contexte des discussions préparatoires à l’adoption d’un objectif climatique européen à l’horizon 2040, l’Association négaWatt a réalisé une analyse comparative...
Le 7 mars dernier, le Gouvernement a lancé une nouvelle consultation sur la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), avec pour objectif la publication du décret en avril.
Le projet de PPE a peu évolué depuis décembre dernier...
Le Gouvernement a lancé début novembre une concertation publique autour des tant attendues Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) et Stratégie nationale bas carbone (SNBC)...
En réponse à la tribune parue le 5 novembre 2024 dans le journal Libération, appelant à un moratoire sur l’implantation des centrales photovoltaïques au sol...
La délégation à la transition écologique de la direction générale des entreprises (DGE) a initié un travail exploratoire qui se fixe pour objectif de définir l’évolution des entreprises...
L’article publié le 19 octobre dans Nature Communications souligne le rôle majeur de la sobriété, en complément de l’efficacité et des renouvelables, pour permettre l’atteinte d’objectifs énergie-climat ambitieux.
Autorisé en 2007, le réacteur a connu des dépassements de coût et de délai considérables, et sa mise en service effective n’est pas encore réalisée : plusieurs mois vont encore être nécessaires avant le raccordement au réseau.
L’Association négaWatt a été auditionnée en février 2024 par le Conseil d’État dans le cadre son "étude annuelle", sur la souveraineté.
L’Etat a récemment engagé une dynamique de fond sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), en lançant plusieurs chantiers dont les finalités se rejoignent : favoriser l’usage de l’électricité dans le bâtiment et réduire le nombre de passoires thermiques. Si la volonté de décarboner le parc bâti est louable, l’Association négaWatt alerte sur les impensés de cette stratégie.
Le 6 février 2024, au milieu de l’agitation politique avec les agriculteurs dans les rues européennes et les craintes d’une poussée de l’extrême droite dans les élections du Parlement européen de juin, la Commission européenne (CE) a présenté sa communication sur un objectif climatique pour 2040, basé sur une modélisation complète de scénarios détaillés dans une étude d’impact. L’analyse de ces documents montre un écart considérable entre les conclusions de l’étude d’impact et certains choix et recommandations présentés dans la communication. Sur la base d’une analyse des scénarios et d’une comparaison avec le scénario CLEVER (a Collaborative Low Energy Vision for the European Vision) publié en 2023, la présente note examine comment ces choix pourraient entraîner des coûts plus élevés, des risques accrus et une perte de souveraineté pour l’Europe et ses citoyens.